M'yuan

Identité

Prénom

M’yuan.

Âge

69 ans.

Sexe

Mâle.

Clan

Aethan Dor auparavant…Maintenant, le Thac.

Description Physique et Psychologique

Physique

Plus jeune, j’étais beau, mais les années ont marqué mon visage. Il est hâlé pour un soleil sauvage et brûlant. Aujourd’hui, mes traits sont beaucoup plus tirés et usés comme si je vivais depuis des centaines d’années. Mes yeux gris, sans éclat, sont soulignés de cernes importants. Mes paupières sont lourdes et donnent l’impression de s’abaisser en tout temps. La fatigue ravage ce visage autrefois séduisant. C’est pire que des cicatrices. Mes lèvres sont minces et immobiles. Je ne souris jamais. Ensuite, j’ai de longs cheveux bruns ternes et inégaux qui camouflent une partie de ma face. Ils sont souvent emmêlés et hirsutes, je ne prends pas soin de mon apparence. C’est pratiquement impossible de se coiffer joliment dans un désert. Je suis grand. Je dépasse mes compères d’une tête et demi. Mes épaules sont larges, mes muscles saillent sous ma peau boursouflée de cicatrices. J’en ai sur les bras, sur les jambes, sur le dos, sur la poitrine et même une entaille coure sur ma fesse droite. Je ne dévoilerai pas le nom de la femme qui m’a fait cette outrance. Aussi, j’ai quelques tatouages. L’un représente un serpent s’enroulant autour de ma cuisse gauche, un autre, se situant au niveau de mes épaules, est un assortiment de signes tribaux qui couvrent mes bras et se terminent autour de mes poignets. Le troisième est des inscriptions anciennes gravées sur ma nuque. Au contraire de ma race, j’utilise les vêtements pour me vêtir du cou jusqu’aux chevilles. Je n’aime pas me retrouve à moitié nu. Ce n’est pas décent. Nous avons plus de crédibilité lorsque nous sommes habillés. Je porte de hautes bottes souples qui me permettent de ne laisser aucune trace sur le sable. Le Shoufa noir est enroulé autour de mon cou.


Signes Particuliers

Ils sont cités dans la description physique, à savoir les cicatrices, les tatouages et de vrais vêtements.

Physique lors de sa transformation

Je ne me transforme qu’en de rares occasions. Surtout lorsque je suis seul et qu’il n’y personne pour me voir une fois reprenant ma taille humaine. Durant ma transformation, mes vêtements se déchirent et je me retrouve…nu comme un ver. C’est intimidant devant des individus.

Je ressemble à serpent.
*Hoche la tête avec fureur.*
J’ai quelques anormalités frappantes…
*Secoue la tête avec vigueur.*

J’ai deux étapes à franchir avant de devenir un monstre. La plupart des nôtres possèdent un physique plus…évolué que le mien. Je n’ai pas de longue tête, des milliers de bras, des tubes visibles au travers de ma peau…NON! Je suis…à moitié serpent…à moitié humain…à moitié un monstre…à moitié … repoussant…

Mon mâchoire s’allonge, mon crâne subit une mutation et devient plus incliné, mon nez devient…absent. Mes oreilles sont alors pointues, ma peau vire au vert grisâtre, ma musculature se développe, deux bras supplémentaires surgissent de mes côtes, sectionnant ma chair tendre, des bras munis de griffes aux doigts…La douleur…est…inexistante. Je ne sens rien lorsque je métamorphose en…serpent…en serpent ailé…Oui oui…J’ai des ailes…deux ailes vertes et majestueuses se déploient derrière mes épaules…Elles fracassent mes omoplates, transpercent les tissus fragiles d’épiderme et battent l’air. Mes jambes se fondent l’une dans l’autre, formant alors une queue agile et souple composée d’anneaux immenses.

Il m’arrive parfois de laisser mon corps se transformer en serpent. Au complet. Ma tête s’aplatit, mes yeux deviennent minuscules et injectés de sang, mes narines deviennent des fentes frémissantes, mes joues se creusent, mes traits sont alors grossiers et vulgaires…Ma bouche s’élargit, ma langue s’amincit et vibre rapidement. Mes cheveux se changent en une crinière fauve, chaque cheveu donne l’impression d’être une liane suintant de ma tête…Ces lianes remuent…Elles prennent vie… !!!

Je n’aime pas cette forme…Elle me fait peur…Dès que je vois mon ombre…je sursaute…je m’effraie…Je m’enfuis…Mais cette ombre me suit…Elle ne me lâche plus !


Maladie ou anormalité

J’ai une liste de phobies assez particulières.

Caractère


Nerveux. Je tremble au moindre bruit, me visualisant des scènes où quelque chose d’insolite surgirait de nulle part pour me dérober quelques organes ruisselant de sang. Nerveux en compagnie des autres, persuadé qu’ils complotent tous dans mon dos. Nerveux en présence des femmes, je me sens maladroit, stupide et…minuscule.

Constamment sur mes gardes. Des armes sont dissimulées sous mes vêtements : des poignards incurvés, des dagues tranchantes; en plus de ma lance et de mon bouclier. Mes muscles sont bandés en permanence, mes sens en alerte évaluent le périmètre.

Pudique et pur. Je n’aime pas qu’on me voie nu comme je n’aime pas voir les autres nus. Il me faut des vêtements. Sous ces vêtements, je peux glisser quelques armes secrètes et me servir pour me défendre contre une attaque sournoise et déloyale ! Apercevoir quelques centimètres de peau me fait déglutir de frayeur. Je détourne le regard. Non ! Il ne faut pas reluquer la peau ! Comme il est interdit de s’abandonner à des plaisirs…impurs…Les femmes profitent de ces moments pour…nous découper en petites rondelles sanguinolentes afin de nous engloutir voracement !

Rusé et méticuleux. Je prépare des pièges à quiconque voudrait s’approcher trop près de moi durant mon sommeil. C’est facile de s’occuper d’une victime pendant que celle-ci dort. Ou bien, tout ce que je confectionne doit être parfait...Aucun défaut. Aucune imperfection. Rusé parce que je conçois, je réfléchis et j’analyse les situations. J’essaie de tourner les événements à mon avantage.

Lunatique et vague. Je vis dans un monde parallèle, avec mes peurs et mes craintes, hallucinant un danger à toutes les secondes. Lorsque le Thac est arrêté pour la nuit, je m’accroupis près d’un feu, je me balance en avant et en arrière, le regard perdu dans les flammes. Si on me parle, je réponds vaguement.

Entêté et ambitieux. Je veux que mon clan soit fort. Pas comme moi, pas comme le peuple. Le peuple est corrompu. Lorsque j’ai une idée, elle m’obsède et je dois la mettre en pratique. Si l’on m’ordonne de faire quelque chose contre mon gré, j’oppose une résistance farouche. Lorsque j’ai une idée bien encrée dans la tête, je ne m’en départis pas. J’aspire aussi à faire de grandes choses. Il faut créer un peuple fort, puissant, indestructible. Oui oui…

Phobies

L’eau. Dès que je vois ce liquide, j’ai les jambes défaillantes. Toutefois, je vais maîtriser cette peur et même que j’ai organisé une méthode infaillible. Cette méthode consiste à transporter de l’eau dans mon territoire afin que mes hommes surpassent leur frayeur. C’est stupide d’avoir peur de l’eau. Nos ennemis pourraient nous piéger en encerclant notre périmètre d’eau ! À ce moment là, nous serions faibles, terrifiés à la perspective d’être noyés ! On se moquerait de nous ! Non ! Non ! … Pas peur de l’eau ! Il ne faut pas !

L’infidélité. J’ai peur de la révolte. Je ne fais confiance à personne. Je regarde derrière mon épaule en tout temps au cas où un de mes hommes ou un ennemi tapi derrière une dune de sable voudrait me planter la pointe de sa lance acérée entre mes omoplates. Je sais qu’on est contre moi ! J’en suis persuadé ! On aspire à me tuer ! On conspire derrière moi, on chuchote sur mon sillage, on désire mon cadavre. Il ne faut pas ! Il ne faut pas !

Le sexe…Depuis que j’ai eu mes trois femmes…J’éprouve une véritable…non une monstrueuse peur vis-à-vis les rapports charnels. Elles préparaient une attaque dès que je franchissais le seuil de notre demeure. Elles m’agrippaient, me jetaient sur un lit et…me faisaient des choses…elles se faisaient des choses…Et je…Je tremble juste d’y penser. Je me suis mis à fuir le lit familial. Oui oui. Il fallait fuir ces folles qui se touchaient et me touchaient, qui se goûtaient et me goûtaient…Oh … non…Oh…non!

La pudeur. Je ne tolère pas la nudité … Si une femme ou un mâle se promène…avec trop de peau à découvert devant moi … je…je…je rougis, je baisse les yeux, je saute d’un pied à l’autre. Je ne sais plus où me placer. Je suis complètement déstabilisé. Je ne peux pas supporter l’idée de m’exhiber devant autant de personnages…Je ne peux pas…

Les femmes. Elles sont…de véritables démons. Toujours prêtes à vous lacérer la peau, à vous extraire vos viscères et à les étaler sur le sol avec la pointe de leur lance. Elles vous tiennent tête, elles sont des meurtrières, des vipères à la langue farouche !! Toujours elles vous contournent, elles vous étudient et vous épient jusqu’à trouver vos faiblesses. Elles les utilisent, elles vous utilisent !! Ce sont des monstres dotés d’une incroyable beauté!! Des monstres venus sur terre pour massacrer le sexe masculin !! Ce sont des incubes ! Ce sont…ce sont… !! Les femmes sont rusées…fourbes…et agiles !! Elles vous manipulent, elles se jouent de vous

La mort. Selon moi, la mort est la pire chose au monde. Dans ma race, on dit que c’est glorieux de trépasser au combat…Oh non de non…Je ne veux pas mourir…Nous ne savons pas ce qu’il y a de l’autre côté … Peut-être des démons pourvus de tentacules visqueux ? …. Personne ne le sait…Non…personne ne le sait…Oh …. La mort. La mort nous est donné par nos ennemis…ou par nos proches…On nous poignarde, on nous broie le cœur…Les Mizaris…Ils veulent tous me tuer…nous tuer…Nous….Nous…

Sca’lai…Elle me terrifie…Juste la mention de son nom me fait choir…tremblant comme une feuille ! Il faut qu’elle reste loin de moi…C’est un danger…Une chienne qui désire me trancher la gorge !! Elle et sa lance veulent ma mort !!! Vite ! Je dois me sauver ! Me terrer dans un abri inconnu de tous et m’abriter là jusqu’à ce que la menace soit partie !! Elle…Sca’lai…monstre de la guerre…Il faut que je m’éloigne d’elle..
[b]

Passé

Son Histoire[/b]

-Mon fils deviendra un homme!
-Mon fils sera un chef parmi les chefs !
-Mon fils tirera les ficelles de la société !
-Mon fils aura beaucoup d’épouses !
-Mon fils honorera notre peuple !
-Mon fils détiendra le pouvoir !

Niéäs’jhi’azs clamait haut et fort ces paroles puissantes de sa voix vibrante. Elle élaborait le futur de son fils avec une excitation fébrile. Pour elle, son fils avait déjà son avenir tout tracé devant lui, un avenir prestigieux. À ses yeux, M’yuan ne deviendrait pas le poltron d’aujourd’hui, celui que l’on reconnaît comme un impur à son sang. «J’éduquai sévèrement mon fils, lui apprenant le maniement de la lance et des armes, lui faisant des leçons sur les stratégies militaires, sur le comportement que devait adopter un commandant froid et exigeant.» Niéäs’jhi’azs lui apprit aussi comment s’exprimer et posséder l’éloquence et le charisme des commandants. Rapidement, le petit se métamorphosa en jeune garçon endurci qui se changea pour un homme. «Mais il était paresseux. Dans ma famille, je ne tolèrerai pas de paresse ! J’lui ai tordu la main pour qu’il choisisse une fonction respectable qui pourrait, éventuellement, l’amener à un poste plus honorable ! Il fut accepté par les Aethan Dor où il commença à surveiller les citadins. J’étais pas fière de ce métier. J’étais pas fière de ce Mizari timide. Il n’avait pas de femmes. J’lui ai déniché une femelle, une ancienne vierge de la lance. Une vraie, une dure, une sauvage qui saura maintenir un type comme M’yuan en bride. »

«Eäisfrell, mon nom est Eäisfrell. Autrefois, j’étais une vierge de lance mais j’ai délaissé mon poste pour un Mizari. Il est mort quelques semaines plus tard au cours d’un combat singulier. L’abruti fini. Je m’suis mariée pour rien ! J’étais veuve et pouvant pas retrouver ma lance, mes sœurs se moquaient pas mal de moi et j’devais retrouver mon honneur. Pis un soir, une bonne femme, une Mizari à la carrure de mec, s’est présentée devant moi et m’interrogea sur mes fréquentations. J’sais juste qu’elle m’a menacée de me rompre tous mes os si je ne consentirais pas à me marier avec son fils. M’yuan est un bel homme. Quand je l’ai vu, il m’a tout de suite plu. Mais c’est un timide. Il n’est pas sauvage et téméraire comme les autres. Il restait le plus souvent silencieux, dominé par moi, totalement incliné devant moi. Il ne rouspétait jamais, il ne m’interrompait jamais, il m’écoutait et me servait sans geindre. C’était pas mal intéressant. Mais j’aime les mecs qui nous sautent farouchement. Celui-là, il ne me priait jamais de lui caresser le manche, voire que mes avances ne l’émoustillaient pas, il s’enfuyait ou rougissait devant ma nudité. C’était pas super. Je n’avais aucun plaisir et l’idée de le tromper m’était insoutenable. J’ai donc décidé de prendre des sœurs-épouses. M’yuan n’a pas bronché. Il a haussé les épaules et est parti courir les rues afin de maintenir l’ordre et la sécurité. Carvear’wear fut le deuxième épouse de M’yuan. »

«Avec Eäisfrell, on s’amusait comme des folles. On se bécotait langoureusement, on se touchait, on se buvait, on se dévorait pendant que l’autre prude travaillait. Depuis notre mariage, il évitait la maison et y rentrait tard, se faufilant doucement dans une couchette de pailles. À chaque fois, on l’attendait, on l’attrapait et l’étendait sur les pailles. Le pauvre petit se débattait et se dérobait souvent. Oh non, mon gros serpent, fallait pas qu’il s’échappe, Eäisfrell et moi avions envie d’une nuit palpitante. On a pas l’engin nécessaire pour obtenir ce que nous désirons. On abusait de M’yuan. Chacune après l’autre. Toutes les deux, on ignorait les merdiers dans lesquels s’était fourré notre mari. Disons qu’on était trop frustrées de ne pas être satisfaites par ce type qu’on se foutait pas mal de sa vie.
Après quelques mois…peut-être quelques années, Eäisfrell et moi voulions une nouvelle compagne. Dès qu’on l’a proposé à M’yuan, il s’est mis à piqué une crise de folie. Il s’est jeté sur les murs, se tenant la tête de ses mains, hurlant comme un demeuré. Depuis quelques semaines, il était devenu très bizarre. J’crois qu’il commençait à avoir quelques fils de péter. Il n’a jamais eu vraiment toute sa tête, mais là, il se transformait en…imbécile. Il marmonnait tout seul, se balançait sur ses pieds, se recroquevillant dans un coin. Bref, il n’a pas aimé avoir une troisième femme. »

«Jhe’cohd’sia fut le nom que ma mère m’attribua après l’accouchement. Je connaissais les deux femmes de M’yuan depuis longtemps lorsqu’elles me proposèrent de me joindre à leur couple. Je dois avouer que j’ai d’abord hésité étant donné les rumeurs farfelues qui circulaient à propose de leur homme. Toutefois, il faut reconnaître que ce Aethan Dor était plutôt séduisant bien que des rides de fatigue et de terreur s’installaient progressivement sur son visage radieux. Séduisant ? Certes, oui. Mais il était baisable. Néanmoins, je n’avais jamais entendu de bonnes critiques par rapport à ses prouesses au lit, mais les deux sœurs-épouses influencèrent mon choix en me décrivant combien M’yuan pouvait être soumis sous leurs mains. Oh et puis, les autres étaient tous occupés à courir d’un sexe à l’autre sans vouloir se ranger. Ainsi donc, toutes les trois, nous nous occupâmes de M’yuan. Sa mère était plutôt ravie de ce que nous faisons. Elle affirmait que de cette manière, il deviendrait un mâle. Un vrai. La folie de M’yuan s’aggrava. Un jour, il fut jugé coupable de meurtre et puni par la peine de mort.
Je ne sais fichtrement pas ce qui s’est passé. Nous n’avons jamais plus vu notre cher mari. Par contre, toutes les trois, nous savons qu’il est vivant. Qu’il s’est enfui de nous et qu’il payera cher pour cette faute.»

Il ne faut pas parler de son passé…Pas de mon passé…Il faut fuir…L’oublier…S’en échapper. Les filets sombres du passé tissent des flots corruptibles autour de moi. C’est si près. Il faut s’éloigner le plus rapidement possible. S’envoler très haut dans le ciel et disparaître. Mais le passé nous rattrape. Il est là, juste à côté de moi. Ce que j’ai commis, ne pas y penser. Ne pas se souvenir. C’est la clef. Ne…Jamais…se…souvenir…Non. Non. Non.

Il faut seulement savoir que Sca’lai est un monstre, que tout a commencé à cause d’elle. Oui oui…


Enfant de …

Niéäs’jhi’azs

Famille

Nous avons été bernés…Les femmes nous emploient à leur guise….Elles s’amusent avec notre corps…Elles se cruelles…De viles créatures aux courbes alléchantes…Non…Non….Il ne faut pas succomber à leur charme irrésistible…
Trois de ces femmes ont abusé de moi…Elles sont mes épouses…Le malheureux que je suis…
Eäisfrell, Carvear’wear, Jhe’cohd’sia…
Aussi fortes que des taureaux, aussi intelligentes que des érudits…Aussi féroces et sauvages que des fauves. Il ne faut pas y penser…Il faut oublier…Ces femmes abandonnées veulent ma peau. Ma peau…Ma peau…

Autres

Emploi

Un chef…Je guide le Thac. J’ai créé le Thac. Nous devons devenir forts…Nous ne devons pas suivre les changements…Nous devons former une nouvelle race indestructible…Il faut toujours regarder derrière son épaule…On ne sait jamais…

Statut social

Marié à trois femmes….

Habileté spéciale

Sous ma forme reptilienne, j’ai la possibilité de rétracter mes ailes et de plonger dans les terres de sable où je sillonne rapidement. Avec mes ailes, je vole, mon long corps ondulant dans le vent.

Lieu d'habitation

Saratium…loin de mon peuple…Loin de ces Mizaris…loin de mes femmes…

Possessions particulières ?

Que des armes pour me protéger d’une embuscade. On ne sait jamais qui va nous rejoindre au détour d’une dune de sable…Il faut être méfiant et anticiper le pire…

Animal de compagnie

Aucun…L’animal peut être un ennemi. Un serpent peut s’enrouler autour de mon corps, serrer ses anneaux contre moi et m’étouffer…Un chien peut m’égorger. Un fauve peut me dévorer vivant … Un aigle peut jeter son dévolu sur moi …

Waaaaoooo ! Une fiche de 2941 mots !! Au fait, je décrirai les secrets de M’yuan au fur et à mesure que le rp s’avancera. Si quoi que ce soit te déplait, cher admin, dis-le moi le plus tôt possible.